Ali Kabab n’était qu’un coup de pub de la Société Générale d’Affichage (SGA) pour prouver l’efficacité de ses affichages aux annonceurs qui sont devenus plus timides avec la crise.
La SGA a fait coup double car non seulement elle fait parler d’elle et elle prouve à ses futurs clients l’efficacités de ses emblacement et campagnes de pub au travers de leur service d’affichage, de plus elle utilise les emplacement vide, abandonné par les clients qui se font plus rare, crise illustrée par la baisse spectaculaire (– 60% ) de son bénéfice net pour le premier semstre 2009.
lusa