Les rumeurs étaient apparues soulignant des plans en coulisse en vue de soutenir financièrement la Grèce, en cas d’aggravation de la crise qui affecte ce pays surendetté. Paris et Berlin ont démenti. En effet, dans les capitales européenne, le sujet de plan de sauvetage reste tabou, les pays membres attendant que la Grèce prenne elle-même des mesures radicales pour assainir ses finances publiques.
Le Premier ministre grec Georges Papandreou a répété, depuis Davos, que son gouvernement était « prêt à remettre de l’ordre dans la maison », à « aller de l’avant et à retourner la situation ».